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MASSIF
DE L'HINDU RAJ
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Col de Boroghil
Vallée et lac de Karambar
Vallée de Daspar
Vallée de Nialti, glacier de Ghalsapar
Vallée d'Ishkoman
Ana Sar -5630m-
Amman Chhish -4850m-
Booni zom -6551m-
Chiantar Group 6000/6416m-
Koh-I-Chiantar -6416m-
Karka -6222m-
Pt 6189m
Chikar Zom (Chikari) -6110m/5928m-
Chikari Beag -5620m-
Chotar Zom -6058m-
Chota Pahad Sar -5660m-
Chushubalstering group -5415/6158m-
Chushubalstering -6158m-, sommet Ouest -~6000m-:
Chushubalstering -6158m-, sommet Nord (Denis Peak)
-5575m-
Chushubalstering -6158m-, sommet Est -5415m-
Dhuli Chhish group-6531m-
Dhuli Chhish Nord-Ouest ~6400m-
Kampur (Dhiang) -5499m
Kampur (Dhiang) -5499m, face Nord Ouest
Kerun Peak -~6200m-
Khan Sar -5708m-
Koe waram (Koe warham) ~6600m-
Koyo Zom -6872m-
Koz Sar -6677m-
Kutshkulin Sar (Sax Sar) -5900/6000m-
Lupsuk Sar -5645m-
Makutchum -6191m-
Nashran -5200m-
Pashchoshi -5508m-
Rinzho Zom -6100m-
Sahan Sar (Shan Sar) -5200m-
Shahan Dok -6320m-
Shayaz -6055m-
Thui Zom Group -6661m/6523m-
Thui Zom I -6661m-
Thui Zom II -6523m-
Tutaneki -5415m-
Uddin Zom -6010m-
Ulumeshpathi -6175m-
Vicum Sar II -5640m-
Windok -6135m-
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En amont de la rivière Chitral, la longue et
belle vallée habitée de la Yarkhun est bordée
au Sud par le massif de lHindu Raj. Cette chaîne forme,
avec les montagnes de Gilgit et celles du Swat, l'Hindu Kush oriental.
Nombreux sont les sommets encore vierges dans l'Hindu Raj, beaucoup
nont même pas de nom, baeaucoup sont techniquement difficiles.
Les glaciers se déroulent sur des kilomètres comme des
langues de pierres, leurs montées et leurs redescentes peuvent
paraître interminable. En 1990, seuls 12 sommets de plus de
6000 mètres avaient été gravis sur une trentaine
en tout. En 2001, une expédition française a réussi
plusieurs dentre eux.
Ci-joint les cartes géographiques disponibles
de la région de l'Hindu Raj:
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En amont de la rivière Chitral, la longue et belle vallée
habitée de la Yarkhun est bordée au Sud par le massif
de l'Hindu Raj. Cette chaîne forme, avec les montagnes de Gilgit
et celles du Swat, l'Hindu Kush oriental.
Nombreux sont les sommets encore vierges dans cette région,
beaucoup n'ont pas de noms, tous sont techniquement difficiles, les
expéditions y sont rares. Les glaciers se déroulent
sur des kilomètres comme des langues de pierres, les monter
et les redescendre peut paraître interminable. En 1990, seuls
12 sommets de plus de 6000 mètres avaient été
gravis sur une trentaine en tout. En 2001, une expédition française
a réussi plusieurs d'entre eux.
L'Hindou Raj est une excellente région pour des
expéditions voulant tenter des premières ascensions d'exploration
de relatifs petits sommets en style alpin. Ont y trouve un temps légèrement
plus stable que dans les régions du Karakoram situé plus
à l'Ouest.
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Col de Boroghil
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Le
projet de relier l'Afghanistan par route par ce col sauvage est en cours
d'étude. Cette route permettrait de relier l'Afghanistan et surtout
le Tadjikistan, une route alternative, directe et pacifiée par
rapport aux voix existantes. Ce projet est à ce jour resté
dans les tiroirs mais constitue dores et déjà une menace
de pollution pour les contrées sauvages de l'Hindu Raj.
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Vallée et lac de Karambar
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La
vallée de Karambar a été visitée en 1994,
1995 et 1996 par des expéditions scientifiques de l'université
de Milan. Le lac de Karambar près de la frontière afghane
et près du col de Boroghil peut être atteint par l'ouest
(depuis Chitral) par la vallée de Yarkhun et de Lasht ou de l'Est
(depuis Gilgit) par l'intermédiaire de la Karakoram Highway depuis
Sost.
Ce lac offre un cadre paisible dans une très belle wirlderness.
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Vallée de Daspar
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La vallée de Daspar offre un nombre important
d'objectifs d'ampleur que ce soit en rocher ou en neige, glace et mixte.
La carte ci-dessous offre un récapitulatif des sommets gravis
et observés durant l'été 2007 par Florian
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Vallée de Nialti, glacier de Ghalsapar
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Une expédition de l'UIAA a eu lieu pendant septembre
2000 dans le nord de région de Nialthi et à l'ouest du
Thui Gol. Organizé par le FFME et sous la conduite du jeune guide
français Manu Pellissier, le camp a été occupé
par 21 jeunes grimpeurs représentant le Canada, la République
Tchèque, le Danemark, la France, l'Allemagne, la Grande-Bretagne,
la Hongrie, l'Irlande, l'Italie, le Pakistan, la Pologne, la Slovénie,
l'Afrique du Sud et la Nouvelle-Zélande.
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Vallée d'Ishkoman
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La
vallée d'Ishkoman relativement peu connue forme l'aval de la
rivière Karambar depuis Ie Sud d'Imit jusqu'à la rivière
Gilgit à la confluence de Gakuch. Au-dessus de cette vallée,
elle forme la ligne de partage des eaux entre le Karakoram et l'Indu
Raj,
Angelo Rusconi, 57 ans, a dirigé une cordée italienne
de cinq hommes en 2000. Les Italiens ont découvert une richesse
de montagnes isolées de 4000m à 6500m d'altitude. Depuis
un camp de base situé sur les rives d'un lac à 3800m,
l'équipe a fait la première ascension d'une montagne anonyme
de 5100m le 5 août, montant son flanc est et rencontrant des difficultés
de roche IV et V.
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Ana Sar -5630m-
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Une grande expédition de 28 membres du club alpin
italien (leader Franco Brunello) à visité le secteur en
juillet et août 1997. Le camp de base a été installé
derrière le lac Karambar et ils ont fait les premières
ascensions des petites montagnes élégantes de neige et
de glace en-dessous de 6000m dont l'Ana Sar (5630m), passages en mixte
de 60-65° et en escalade de roche II/III accompli en 24 heures depuis
leur camp de base. L'équipe à effectué une moisson
d'une dizaine de sommets vierges dans la région.
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Amman Chhish -4850m-
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Le jour suivant, Ashworth teamed vers le haut avec Staunton
chrétien d'Irlande pour monter un itinéraire court d'ANNONCE
(45°) vers le haut d'une montagne mineure au-dessus du camp élevé
sur le glacier supérieur. Amman Chhish (4,850m) a été
baptisé du nom du guide local de l'expédition, Ammanullah
Khan.
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Booni zom -6551m-
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A
compléter
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Chiantar Group -6000/6416m-
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Aux
sources de la rivière Yarkhun dans l'Hindu Raj, ce massif est
à la confluence de lHindu Kush, du Pamir et du Karakoram.
Fermé pour cause de guerres afghanes, cette région sest
récemment ouverte aux visiteurs. Il est particulièrement
mystérieux. Près de la moitié de ses 9 sommets
de plus de 6000 mètres sont encore inviolés et les 2 tiers
sont sans noms, à peines référencés. Laccès
par la Yarkhun est plus long que par le versant Sud mais plus agréable,
à travers les alpages de Boroghil et de limmense glacier
de Chiantar.
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Koh-i-Chiantar -6416m-
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Ce
sommet est le point culminant du massif de l'Hindu Raj.
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Karka -6222m-
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Ce
sommet est l'un des points culminants du massif de l'Hindu Raj.
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Pt -6189m-
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Une expédition italienne sous la conduite de Franco
Brunello a tentée plusieurs itinéraires, notamment la
première montée de la face Sud Ouest de la pointe 6,189m,
une ligne de crête de 1400m avec des sections jusqu' à
70ø, qui a été réalisé en juste six
heures par Tarcisio Bello. La crête verse sur le nord du glacier
de Suj au Nord de Mathantir.
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Chikar Zom (Chikari) -6110m/5928m-
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Le
glacier Nord du Nialthi fut exploré par des membres coréens
du UIAA International en 1999. Un camp de base fut édifié
à 3750m et l'équipe réalisa la première
de la face Nord Est du Chikari (5928m) et la face Nord Est du Mustum
(5620m) (le leader coréen nommé Seo, fit l'ascension des
sommets de l'Ultar en 1996 et du Gasherbrum II en 1997).
Une expédition française de la FFME sous la conduite du
jeune guide français Manu Pellissier a uvré dans
la région située au nord de Nialthi et à l'ouest
du Thui Gol. Le camp de base a été occupé par 21
jeunes grimpeurs représentant le Canada, la République
Tchèque, le Danemark, la France, l'Allemagne, la Grande-Bretagne,
la Hongrie, l'Irlande, l'Italie, le Pakistan, la Pologne, la Slovénie,
l'Afrique du Sud et la Nouvelle-Zélande.
Le Chikari était l'un des sommets impressionnants principaux
et vierge de la vallée (5,928m). Rapidement, divers membres de
l'expédition se sont frayés un chemin dans l'icefall du
glacier supérieur de Ghalsapar. D'un camp élevé
à 4870m, les quatre Slovènes, Jernej Bevjk, Jernej Brescak,
Matej Kovacic et Matevz Kramer, ont fait l'ascension d'un couloir Est,
plus tard baptisé " le Coup de Sabre " jusqu'à
un col à 5350m entre la longue arête nord du Chikari et
les 5620m du Chikari Beag. Bevjk, Brescak, et Kovacic sont retournés
plus tard pour répéter ce couloir de 400m (D) et ont suivi
le flanc droit de l'arête Nord du Chikari pour camper sur un grand
plateau neigeux. Le jour suivant, le 23 septembre, ils ont fait l'ascension
des pentes glacées de 600m de haut de la face Nord Ouest (jusqu'
à 65°) pour gagner l'arête somnitale où ils
ont fait une traversée facile jusqu'au sommet. Les trois Slovènes
ont été suivis de près le même jour par Gregory
Coubat de France, Mathieu Peloquin du Canada et le Richard Wesley de
Nouvelle-Zélande.
L'ascension slovène du Chikari a été suivie d'une
tentative directissime par la face est. Sur le 16ème et 17ème
jour, Bevjk, Brescak et Kovacic ont grimpé la ligne la plus évidente
sur la face, le grand couloir central. C'était une entreprise
tout à fait dangereuse, exigeant une ascension exposée
aux chutes de séracs. Les trois ont projeté de laisser
le couloir au deux tiers et d'incliner à gauche du sommet. Cependant,
ils ont trouvé l'ascension trop difficile et après un
bivouac très froid avec peu d'équipement près du
dessus du couloir, ils ont gagné l'arête Nord puis ont
décidé de redescendre sans atteindre le sommet (1400m/TD).
Plusieurs autres expéditions ont tenté le sommet du Chikari
par différents itinéraires. Les Tchèques, Vojta
Dvorak et Radek Lienerth ont passé 3 jours à fixer des
cordes sur un pilier raide de roche compacte (qu'ils appelèrent
Chikari Tower), s'élevant depuis le glacier de Ghalsapar situé
à 4000m, ascension difficile avec des difficultés jusqu'
à F7a. Après un repos au camp de base, les deux sont revenus
au même point puis une arête facile de mixte située
à gauche de la face Est pour atteindre un col de 4800m entre
le sommet principal et le point 5250m, où ils ont bivouaqué.
Le jour suivant, le 19ème, ils ont tenté de monter l'arête
Sud-Est de Chikari mais sont bientôt revenus à 5400m à
cause de la progression lente.
Avant cette tentative le couloir immédiatement à droite
du pilier avait été gravi par Coubat, Peloquin, Christophe
du Canada Argo et le Wesley. La section la plus raide était une
rimaye (75°), après quoi l'angle était généralement
à 45°. Le couloir mène à un mur sommital, au-dessous
duquel la cordée pouvaient s'incliner vers la gauche sur du mixte
(F3) pour atteindre le col situé à 4800m. Plus tard, Pellissier,
et Kiss Ildi a répété le couloir mais au lieu de
partir sur la gauche, ils ont continué en directement du mir
sommital par l'intermédiaire d'une série de glaciers impressionnants
(six longueurs: c200m: VI/5 avec un F4c). Ils sont descendus par le
même itinéraire.
Trois autres petits sommets ont été atteint par l'expédition.
Coubat et Peloquin grimpèrent la pointe 4980m via le Corridor
Nord Est (baptisé le corridor du Grand Père) et l'Arête
Est (1000m/AD), le Jute Chhish (4300m) a été grimpé
par Drouillat et le guide français Claude Gardien par l'arête
Sud (D/F5c). Un sommet baptisée Nanar Peak (4400m) a été
grimpé par le Pakistanais Jared Ali, Olivier Mansiot de France,
et Pellissier (400m/TD/F5c). Plus tard, Drouillat et Mansiot ont tenté
l'arête Nord Ouest de la pointe 4980m (ont seulement atteint le
premier gendarme à c4,380m après 350m de grimpe de F5c/A0).
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Chikari Beag -5620m
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Une expédition française de la FFME sous
la conduite du jeune guide français Manu Pellissier a uvré
dans la région située au nord de Nialthi et à l'ouest
du Thui Gol. Le camp de base a été occupé par 21
jeunes grimpeurs représentant le Canada, la République
Tchèque, le Danemark, la France, l'Allemagne, la Grande-Bretagne,
la Hongrie, l'Irlande, l'Italie, le Pakistan, la Pologne, la Slovénie,
l'Afrique du Sud et la Nouvelle-Zélande.
Pendant l'expédition, Rob Jarvis du R-U a fait trois tentatives
sur le Chikari Beag avant de réussir avec l'autre représentant
britannique, Stephen Ashworth, atteignant le sommet sur le 21ème
jour par l'intermédiaire de l'arête Sud haute de 300m au
dessus du col du " Coup de sabre ". La roche était
généralement instable et les difficultés sévères
avec une courte section bien protégée de 4c britannique.
Un sommet nord légèrement plus haut n'a pas été
visité à acuse d'une complexité d'arêtes
branlantes.
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Chotar Zom -6058m
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Le
Chotar Zom, 6058m : gravi par l'arête sud en 2007 (cotation D/1200m).
(cf. photos n° 5 et 6)
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Chota Pahad Sar -5660m-
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Une grande expédition de 28 membres du club alpin
italien (leader Franco Brunello) à visité le secteur en
juillet et août 1997. Le camp de base a été installé
derrière le lac Karambar et ils ont fait les premières
ascensions des petites montagnes élégantes de neige et
de glace en-dessous de 6000m dont l'Ana Sar (5630m), passages en mixte
de 60-65° et en escalade de roche II/III accompli en 24 heures depuis
leur camp de base. L'équipe a effectué une moisson d'une
dizaine de sommets vierges dans la région. Ascension par la même
équipe italienne du Ana Sar (voir ce chapitre) par la face Sud
en 1997.
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Chushubalstering group -5415/6158m-
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Cette montagne est souvent confondue avec le Thui Zom.
Cette montagne avec un face du nord formidable était probablement
première notée par une partie japonaise en 1967, sans
succès tenté par une partie suisse en 1975, tout en complètement
décourageant une paire britannique très compétente
en 1979. Un grand groupe du camp a exploré les approches méridionales
à une colonne sur l'arête Oueste mais a trouvé le
glacier extrêmement complexe et a été également
découragé d'accomplir pas plus le progrès sur cette
montagne rocheuse impressionnante et bien-gardée.
Trois autres petits sommets ont été atteints. Sur de 12ème
le Coubat et Peloquin est ascension la pinte 4,980m par l'intermédiaire
le Couloir est du nord (baptisé Couloir du Grand Pere) et l'arête
est (1,000m: ANNONCE -). le jute Chhish (4,300m) a été
ascension par Drouillat et le guide français, Claude Gardien,
sur le 22ème par l'intermédiaire de l'arête du sud
(D: F5c). Sur le même jour la montagne de Nanar (c4,400m) a été
élevé par le Pakistan Jared représentatif Ali,
Olivier Mansiot de France, et baiser et Pellissier (400m: TD -: F5c).
Plus tard, sur le 25ème, Drouillat et Mansiot ont tenté
l'arête Oueste du nord de la pinte de 4,980m mais ont seulement
atteint le dessus du premier gendarme à c4,380m après
un élever de roche de 350m F5c et A0.
Vers la fin en expédition deux groupes ont osé plus loin
au loin. Sebastian Darmach de Pologne, Viktor Grichtchenko, de un guide
d'Ukraine qui était venue en tant qu'observateur sur le camp,
Christophe Rother d'Allemagne, G Quercia d'Italie et le docteur sud-africain,
Eckart von Delft, descendu à la vallée de Nailthi, a marché
au nord par l'intermédiaire du Thui Gol au glacier de barre de
Barum, qui coule vers le bas des flancs méridionaux Thui I (6,661m)
et camp d'installation. Là d'eux ont tenté l'arête
du nord précédemment ascension de Pashchoshi (5,508m)
et atteint le dessus sur le 23ème (600m: ANNONCE). Cette arête
a été ascension la première fois en 1975 par Geoff
Cohen et George Gibson du R-U, qui l'a trouvée une marche pénible
franche de neige.
Un autre groupe qui a comporté Argo, Jarvis, Kramer, Norreslet
et Staunton également a marché au nord vers le haut du
Thui Gol et a établi un camp sur le glacier de Karunbar après
d'une longue le voyage journée du camp de base de Ghalsapar.
Là ils ont trouvé les montagnes pour être en grande
partie neigeux et beaucoup plus favorables. Le groupe fait un camp élevé
sur le glacier de Kachquiant afin d'essayer l'amende, unclimbed et pyramide
anonyme de 6,008m au sud. Malheureusement, il a neigé fortement
pendant la nuit et a continué pour les jours à venir,
forçant de ce fait le groupe à faire un retour prématuré
au camp de base. Les conditions wintry qui ont suivi ont apporté
une extrémité à l'expédition.
Pendant la même période le FFME a tenu leur propre expédition
pour jeune Alpinists français, basée dans le nord de vallée
immédiatement de Chustubaistering. Cependant, à l'heure
des détails d'écriture des ascensions faites ne sont pas
connus.
Chushubalstering -6158m-, sommet
Ouest -~6000m
Sommet
gravi par trois itinéraire différents en septembre 1999
Sylvain Empereur, Emmanuel Guy, Benoit Jacquemot et Yannick Ponson,
Jérôme Thinières, Stéphane Benoist et Bruno
Ravanat, Hervé Qualizza, Greg Sauget et Sébastien Montaz-rosset
(France) : Bien plus impressionnant, peut-être l'un des itinéraires
les plus impressionnants et techniquement réalisés au
Pakistan pendant cette année, était l'ascension réalisée
par Stéphane Benoist, Bruno Ravanat et Jérôme Thinières.
Ces trois ont accompli un nouvel itinéraire jusqu au dessus du
sommet Ouest précédemment vierge (6000m) mais après
quatre jours sur la montagne, fatigué et avec peu de nourriture,
ils ont choisi de renoncer aux pentes finales de neige. L'itinéraire
a suivi une ligne mince et effilée plus ou moins au centre de
la face Nord-Nord-Ouest de 1500m situé directement au-dessous
du sommet Ouest.
Le premier jour, les français grimpèrent la glace difficile
exposée aux chutes de pierres jusqu'à un emplacement de
bivouac à 5000m au-dessous de la section rocheuse principale
du mur. Le deuxième jour les mena a un second lieu de bivouac
à 5400m. Le troisième jour a commencé par un pendule
suivi d'une partie en glace de plus en plus difficile. Le nud
du problème s'est avéré être un mur de neige
et de glace de 40m de haut avec des sections à 90-95° avec
aucunes possibilités de protection (catégorie 6). Le troisième
bivouac a été fait à 5800m près des séracs
supérieurs.
Le quatrième jour très tard, le trio a commencé
la descente, suivant en partie un itinéraire à droite
de leur itinéraire qui avait été tenté peu
plus tôt dans l'expédition par Sylvain Empereur, Emmanuel
Guy et Benoît Jacquemot. Continuant la nuit tombée, Benoist,
Ravanat et Thinières ont atteint le glacier après 14 heures
et 30 rappels. Baptisé Yakamoneye et évalué à
VII/6, M5, F6a, l'itinéraire ont été accomplis
du 19 au 22 août avec le camp de base regagné sur le 23.
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Chushubalstering -6158m-, sommet
Nord (Denis Peak) -5575m-
En
2000, entre le Chushubalstering (6158m) et le Thui an, col situé
à l'amont du glacier de d'Aghost Bar, Marcel Dumas, Erwan le
Lann et Brice Lefèvre ont fait l'ascension du sommet Nord, un
itinéraire de 36 longueurs au nord du sommet principal. L'itinéraire
a pris quatre jours et a suivi une pente de glace de1200m raide mais
bonne puis un terrain mixte à côté d'une dent sur
le face Nord. Les difficultés ont été évaluées
en glace à 90-95° dans la première section, suivie
de sections en roche avec de plus en plus de glace jusqu' à F5+,
à A1 et à 75°. Le trio avait pris de la nourriture
pendant deux jours mais n'avait emporté aucun sac de couchage.
Cependant, ils avaient une petite tente de bivouac pour s'isoler hors
des éléments. A la descente, les grimpeurs ont été
forcés de couper des longueurs de corde pour des rappels et avant
qu'ils aient atteint le glacier, leurs deux cordes de 60m ont été
réduites à 45m.
Chushubalstering -6158m-, sommet Est -5415m- :
Sommet gravi le 14 septembre 1999 par Christophe Argo (Canada) et Richard
Wesley (Nouvelle Zélande), repris dans la journée par
Ildi Kiss (Hongrie) Emmanuel Pellissier, Benoit Drouillat (France) et
Asmus Norreslet (Danemark).
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Chushubalstering -6158m-, sommet
Est -5415m-
Sommet gravi le 14 septembre 1999 par Christophe Argo
(Canada) et Richard Wesley (Nouvelle Zélande), repris dans la
journée par Ildi Kiss (Hongrie) Emmanuel Pellissier, Benoit Drouillat
(France) et Asmus Norreslet (Danemark).
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