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REGION
KONDUS & CHARAKUSA
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Cette zone est le dernier massif du Karakoram accessible par le Pakistan.
Beaucoup d'alpinistes se ruent sur les géants du Baltoro alors
que non loin, la superbe vallée de Charakusa est peuplée
de tours et de flèches de granit superbes qui restent à
l'écart du monde et attendent les visiteurs intrépides.
Non loin, le Laila Peak, esthétiquement parfaite se dresse au
dessus du glacier de Gondokoro.
La vallée de Charakusa n’est ouverte aux étrangers
que depuis 1984 seulement et que son accès est strictement réglementé
en raison de la zone du Siachen toute proche, la zone entière
étant toujours disputée entre l’Inde et le Pakistan,
la vallée de kondus qui sert d'accès aux troupes Pakistannaise
sur la ligne de front du Siachen est naturellement interdite (région
des Saltoro).
Ci-joint les cartes géographiques et images satellites disponibles
des régions
de Kondus & Charakusa :
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Beaucoup d'alpinistes se ruent sur les géants du Baltoro alors
que non loin, les superbes vallées de Charakusa, de Khridas,
de Nangma , de Homboro et de Kondus sont peuplées de tours et
de flèches de granit superbes qui restent à l'écart
du monde. La vallée de Charakusa n'est ouverte aux étrangers
que depuis 1984 seulement et que son accès est strictement réglementé
en raison de la zone militarisée du Siachen toute proche, zone
toujours disputée par l'Inde et le Pakistan.
L'exploration continue donc, à l'heure où pourtant des
centaines de satellites espions sillonnent les cieux, à l'époque
où quiconque peut consulter des images satellites de grande précision
à partir de chez sois. Rappelons nous seulement que la plupart
de incroyables tours rocheuses et les énormes piliers dressés
en Big Walls de la région ont été découverts
des occidentaux il y a seulement une quinzaine d'année. Cette
page est consacrée à l'une des plus grande découverte
géographique de ces dernières années, de ces vallées
qui pour certaines comme celles de Homboro et de Khridas ont été
découvertes il y a à peine 5 ans ! Ce n'est pourtant pas
pour des raisons politiques que ces vallées on su garder leurs
secrets jusqu'au début du 21ième siècle, mais seulement
pour des raisons géographiques (accès difficile) et grâce
à des alpinistes que l'on pourrait aussi qualifier d'aventuriers
explorateurs. La balle est dans notre camp, sois nous continuons à
sillonner les chemins battus, sois nous en sortons ! Je vous invite
à faire en consultant cette page.
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Vallée de Charakusa :
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 Il
existe dans cette vallée des centaines de tours et sommets de
granit de grande élégance; quelques-uns ont été
gravis comme le Naysa et le Dog's Knob (ou TDK) mais beaucoup d'autres
sont toujours vierges. Le choix des ascensions est immense, la diversité
des courses possibles, le fantastique cadre naturel, les délicieux
sites de camping et la légendaire hospitalité des habitants
en font un terrain de jeu parfait pour des vacances de grimpe dans le
Karakoram.
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Vallée de Kondus :
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 L'énorme
glacier de Kondus s'écoule de la Conway Saddle et du groupe de
Baltoro Kangri et Sia Kangri. Il a été stratégiquement
interdit aux touristes pendant quelques années et la vallée
abrite maintenant une route militaire.
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Vallée de Nangma :
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 la
vallée de Nangma, située au Sud Est de la vallée
de Hushe. Cette vallée désormais parmi l'un des plus prestigieux
site de big Walls de l'Himalaya. On y trouve de merveilleuses tours
rocheuses où l'Amin Brakk trône magistralement dans l'une
des plus grande pépinière de Big Wall que compte la planète.
Ajoutons que malheureusement, le village de Kande où toutes les
expéditions recrutent leurs porteurs à été
victime d'un torrent de boue qui a dévasté la vallée
en 2002.
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Vallées de Khridas & Homboro :
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 Cette
vallée se trouve entre les vallées de Charakusa au Nord
et la vallée de Nangma au Sud. La vallée de Kahridas est
une vallée relativement étroite, la pyramide du Drifika
fermant le fond de la vallée en amont. L'accès à
la vallée nécessite une marche approche de deux jours
avec des portions d'escalade en (5,9). C'est sans aucuns doutes la raison
principale pour laquelle le secteur a été découvert
que très récemment.
En 1999, les italiens Lanfranchi et Maspes ont explorés le potentiel
de la vallée de Homboro En juillet 2000, l'équipe Nord-américaine
formée par Nils Davis, Sean Isaac et Todd Offenbacher a exploré
le potentiel de la vallée de Khridas. Les tours rocheuses de
cette vallée qui offrent de belles courses de rocher devient
de plus en plus populaire.
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Allah's Finger -5000m- (Vallée de Khridas)
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En 1999, les Italiens Luca Maspes, Maurizio Giordani, Natale Villa,
ont fait l'ascension de la tour appelée Allah's Finger (5000m)
en compagnie du suisse Lorenzo Lanfranchi. L'ascension a pris quatre
jours, le sommet a été atteint le 9 juillet. L'itinéraire
a été emprunté en 24 longueurs sur du granit pas
toujours parfait avec des difficultés jusqu'à VII+ plus
beaucoup de sections cotées en A2 et A3. Seconde ascension de
ce très beau pilier par les américains Nils Davis (Etats-Unis),
Sean Isaac (Canada) et Todd Offenbacher (Etats-Unis). Ils étaient
aussi les seconds à explorer la vallée.
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Amin Brakk -5850m- :
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 Deux
cordées ont baptisé les montagnes jumelles d'Amin et de
Nawaz du nom de leurs cuisiniers respectifs (Amin pour la cordée
espagnol en 1995 et Nawaz pour la cordée anglaise en 1998).
L'Amin Brakk dans la vallée de Namla est l'un des Bigs Walls
les plus connus de la région de Hushe, l'un des plus spectaculaires,
l'un des plus complexes de notre planète (plus dure encore que
les tours de Trango). L'Amin Brakk est souvent cité pour culminer
à 5750m mais on pense qu'il est légèrement plus
haut.
En mai 1996, le mur à été tenté pour la
première fois par les très expérimentés
basques espagnols (Jon Lazkano, Adolfo Madinabeitia et Jose Carlos),
abandonnant après 15 jours d'efforts à cause des températures
froides et du manque de nourriture. Ils avaient estimés à
trois à quatre jours de beau temps nécessaires pour atteindre
le sommet. Les espagnoles Masip, Miguel Puigdomenech et Silvia Vidal
sont montés sur cette tour vierge en 1999.
Les vainqueurs anglais du Beatrice Peak (Steve Mayers, Louise Thomas
et Twid Turner) sont revenus en été 1998 dans la région
de Hushe avec des objectifs qu'ils avaient repérés durant
leur première ascension. Ils étaient accompagnés
du grimpeur Elfyn Jones, et Libby Peter. Le pilier Nord de 1200m a été
tenté au moins deux fois par Jon Lazkano et des grimpeurs espagnols
par l'intermédiaire d'une ligne direct sur le flanc droit. Le
plus bel effort de cet itinéraire est situé à 300m
du sommet et a été filmé pour la célèbre
série espagnole intitulée "aux limites de l'impossible".
Jones, Mayers et Turner ont jugé que cet itinéraire ne
pouvait être tenté que par météo favorable.
Par chance pour eux, une section de 200m sous le sommet s'est effondrée
avant leur tentative. Ils se sont donc tournés vers un itinéraire
légèrement plus court à droite du wall, une ligne
plus évidente. Après 550m à grimper sur des dalles
raides, le trio a atteint une terrasse de neige à 5150m où
ils ont pu installer un portaledge. En dépit de la mauvaise météo,
l'équipe est parvenue à grimper dans une section verticale
de 600m. La météo devenait plus mauvaise et plus froide
de jours en jours, il n'y eu jamais plus de deux ou trois jours de beau
temps durant leur séjour en altitude. Après quatre semaines
de grimpe, chacun des trois avaient atteint le sommet du wall (5700m),
atteint dans l'après-midi.
En 1998, Masip (37 ans), Silvia Vidal (28 ans) et Miguel Puigdomenech
(31 ans) ont tenté cette face superbe de l'Amin Brakk. Ils ont
installé quatre camps en portaledge (le plus haut à 5500m)
et passer 30 jours continus sur le mur avant d'atteindre le sommet le
6 août 1998. Ils ont transporté au total 500kg de nourriture,
218 litres de liquides (carburant et eau inclus) pour une ascension
qui dura 28 jours. La météo fut franchement mauvaise car
seulement cinq jours étaient ensoleillés et 19 neigeux.
La roche était médiocre avec les blocs branlants sur la
section initiale mais s'est améliorée considérablement
vers le haut. Au total, il aura fallu 22 longueurs de 70m. Les deux
longueurs en A5 ont été négociés en plusieurs
jours avec des passages en 6c+ mené par Puigdomenech. La dixième
longueur a exigé 27 pitons sur 70m, une perceuse à même
été utilisée par endroit. Deux jours étaient
nécessaires pour redescendre du sommet.
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Amin Brakk -5750m (5880m)-, face Ouest (vallée
de Nangma) :
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 La
face Ouest a été tentée la première fois
en mai 96 par les grimpeurs Basques Jon Lazkano, Aldolfo Madinabeita
et José Carlos Tamayo.
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Amin Brakk -5750m (5880m)-, voie Namkor (vallée
de Nangma) :
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 "
Namkor " veut dire en Balti "mauvais temps ", voie baptisée
Namkor en raison du mauvais avec laquelle la montagne à été
vaincue.
Adolfo Madinabeitia est revenu sur la face Ouest de l'Amin Brakk (5850m)
en 2000 pour réussir la voie Namkor, une ligne de 1550m de haut
entre les deux itinéraires accomplis en 1999. En 1996 Mandinabeitia
avait tenté la face avec des amis espagnols, Jon Lazkano et José
Carlos Tamayo, grimpant 1100m (25 longueurs jusqu'à A3) dans
la voie normale avant la retraite dans un mauvais orage. Lazkano avait
reconnu l'itinéraire l'année précédente
tout en essayant la face Nord Ouest du Nawaz Brakk voisin avec Kike
Pablo et Josetxa Rodriguez. En 1999, les Coréens Jung-Ho, Ihn-Soo
et Hwang Young-Soon ont accompli encore deux longueurs situées
au-dessus du point le plus élevé des espagnols, puis ont
retraité laissant toutes leurs cordes sur place. Peu de temps
après, Marek Holecek, Filip Silhan et David Stastny de la république
Tchèque ont accompli la voie jusqu'au dessus du mur (IX et à
A3), puis monté les 300-400m restants de mixte jusqu'au sommet.
En 2000 donc, Mandinabeitia et son amis Juan Miranda se sont bien acclimatés
en s'exerçant à fixer 11 longueurs de cordes 10 jours
durant avant de tenter le wall le 5 juillet. Le 31 juillet, ils ont
atteint l'arête du sommet sans atteindre le point le plus élevé
puis on fait demi-tour jusqu'au glacier de Changma le 4 août après
31 jours de grimpe et 30 nuits passés dans des portaledges. Seulement
quatre jours avaient été bien ensoleillé, 13 jours
ont été perdu à cause du mauvais temps ("namkor
" voulant dire en Balti "mauvais temps "). Le nouvel
itinéraire fait 31 longueurs, accomplie la moitié en libre
(jusqu'à 6b+). La section clé était assurément
les deux longueurs 15 (de 58m) et 16, les deux cotées A5. Au
dessus de ces longueurs, l'itinéraire suit un dièdre à
gauche puis une face toujours à gauche composée d'un grand
système de cheminées, pour arriver sur la crête
neigeuse près du sommet. Trois camps en portaledge ont été
établis sur la face et 50 pitons ont été utilisés.
Cependant, une grande partie de l'escalade s'est tout de même
déroulée en artif. sur le granit très compact de
l'Amin Brakk. Namkor est le deuxième itinéraire sur l'Amin
Brakk en cotation A5.
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Les tentatives sur l'Amin Brakk :
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* En 1995 : Tentative espagnol (500m, F6b et A3).
* En 1996 : Tentative basque.
* En 1998 : Tentative britanniques par Elfyn Jones/Steve Mayers/Mike/
Wid Turner (1100m, 32 longueurs en E3 et A3).
* En 1999 : Succès par Masip (37 ans), Silvia Vidal (28 ans)
et Miguel Puigdomenech (31 ans) (1650m, 22 longueurs en A5 et 6c+).
* En 1999, les Coréens, le Shin Dong-Chul, Jung-Ho et le Hwang
Young-Soon ont tenté l'Amin Brakk, accomplissant presque entièrement
la voie Basque de 1996 (succès par la cordée de Adolfo
Madinabeitia (voie Namkor, voir ci info). En 1997 ils faisaient également
partie de l'équipe coréenne faisant la première
montée du pilier central de la face Ouest du Gasherbrum IV, Jung-Ho
atteignant le sommet).
A noter :le russe Valery Rozov y a grimpé puis sauté
du sommet en " base jump " (juillet 2004).
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Baltistan Peak -7099m- :
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Ce sommet est souvent apparenté au K6 mais c’est une erreur.
A la date de mise à jour de ce site, ce sommet semble être
vierge.
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Barpoo Burakha (Prupoo Brakk) -6870m (6887m)-
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Ce sommet fut atteint en 1977 par une expédition Japonaise
(Hiroaki Akiyama).
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Beatrice Peak -5800m-, " couloir Diaper
" :
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Le Beatrice Peak est un sommet de 5800m placé du côté
du Nord de la vallée de Charakusa dans la région de Hushe.
L'arête du sommet est une entreprise complexe et a été
atteinte pour la première fois par une jeune cordée britannique
en 1988, par les 2 anglais Andy Bunnage et Bob Mark qui ont fait la
première par un couloir en neige de 1000m nommé "
Diaper Couloir " (cotation D+).
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Beatrice Peak -5800m-, face Sud :
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De fin août à mi-septembre en 1997, une expédition
originale de grimpeurs mixtes et originaires de Grande-Bretagne a fait
la première ascension de la face Sud-Est du Beatrice Peak (750m+
) par deux itinéraires distincts. Glenda Huxter, Kath Pyke et
Louise Thomas ainsi que Grant Farquar, Steve Meyers et Twid Turner ont
installé un camp de base commun dans la vallée de Charakusa
mais ont projeté de grimper la face Sud du Beatrice Peak par
deux itinéraires séparés indépendants, l'un
par une équipe de femme et l'autre par une équipe d'homme.
Quelques pitons étaient nécessaires pour passer la première
section et plus tard chacun des six grimpeurs se sont établi
avec des portaledges sur une terrasse, l'équipe des femmes gardant
une distance respectable par rapport aux hommes. Au-dessus, leurs manières
de grimper ont divergé, les jeunes hommes ont pris ce qui s'est
avérer être la ligne la plus exigeante directissime jusqu'au
sommet. Les chutes de pierre n'étaient pas vraiment un problème
sur cette section mais il y avait les chutes de glaces régulières
dans la journée pendant la chaleur du jour, un phénomène
inévitable sur presque tous les grands Walls dans un environnement
élevé. Puis le temps superbe qui avait régné
a changé, pour être remplacé par les chutes de neige
presque continues pendant les 10 jours qui suivirent. Quand le temps
s'est dégagé, les cordées sont reparties à
l'assaut du mur exigeant des passages en libres en cotation britannique
E2, pour atteindre enfin le sommet. 20 pitons ont été
placés sur la paroi.
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Beatrice Peak -5800m-, face Sud-Est, voies "
The Excellent Adventure" & "Hajeta" :
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La face du Sud-Est du Beatrice Peak s'élève sous un
sommet évalué à deux jours de progression sur une
longue et très complexe arête, sommet qui n'a jamais pu
être atteint. La face Sud-Est a été gravie par l'équipe
de grimpeurs britanniques (Grant Farquar, Steve Meyers et Twid Turner
- voir plus haut). L'itinéraire a été baptisé
" The Excellent Adventure " (cotation A3+ /libre britannique
E3) et " Hateja " (même cotation de difficultés).
Par la suite, les femmes ont grimpé cette même paroi par
un itinéraire différent (voie anonyme en E3 également
évalué à A3+) qui est probablement l'une des voies
les plus exigeantes accompli par une équipe entièrement
féminine dans le massif de l'Himalaya et du Karakoram réunis.
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Changi Brakk (Changi tower) -5830m- :
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En 1998, une équipe féminine originaire d'Australie
et de Nouvelle Zélande a également fait des premières
dans la vallée de Nangma. Abby Watkins, Vera Wong et Nicola Woodford
ont tenté le Changi Brakk (5300m). Les difficultés étaient
évaluées à 5,10 et A2+. Watkins et Wong ont tenu
le record de vitesse d'ascension du Noz sur l'EL Capitan pour les femmes
(16 heures et 40 minutes).
Des néo-zélandais (Wong et Woodford) ont également
tracé un itinéraire sur la tour de Changi, sur le sommet
Nord. L'itinéraire a été accompli en 10 jours 5,10
et A1, à impliqué 26 longueurs. La voie à été
baptisée " Just a Quick " telle que les grimpeurs imaginaient
grimper.
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Changi Brakk (Changi tower) -5820m-, face Est
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En 1998, la face Est a été gravie par 2 routes : Voie
" Just a Quickie " tracée sur le sommet Nord (5800m)
par Norton & Weber (5.10+ and A0) et voie tracée sur le sommet
principal (5820m) appelée " Excess Baggage " par Watkins,
Wong &Woolford: (cotation : 5.10+ and A2+)
En juillet 1999, Rubén Aramendia, Fermin Izco et Mikel Zabalza,
compatriotes de l'équipe espagnole sur Amin Brakk ont abordé
la complexe face Est de la tour de Changi (5820m) aux sommets multiples.
Aremendia, Izco et Zabalza ont progressé 10 nuits sur la face
en quatre camps séparés. Ils ont atteint le sommet le
15 juillet 1999 après 29 longueurs (passage en 7a+ sur la 20ième).
L'itinéraire de 1200m a été baptisé "
Ludopatia ".
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Charakusa Tower -5600/5400m- (Vallée de
Khridas) :
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On suppose que cette tour est 200 mètres inférieure
à son altitude qu'on lui connaît.
Peu d'information sur cette montagne.
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Révision D - 22/06/06 (http://blankonthemap.free.fr)
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Pour tous renseignements, contactez le Webmaster.
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